=>🍡 L'orthographe orthographique concerne la manière correcte d'écrire les mots. Elle définit les règles qui régissent l'usage des lettres, des accents et de la ponctuation dans les mots et les phrases. L'orthographe concerne la forme écrite de la langue et permet de communiquer clairement et de manière cohérente. Elle englobe des éléments tels que la bonne utilisation des lettres, la séquence correcte des lettres dans les mots, l'utilisation des majuscules et des minuscules, l'accentuation des mots, etc. Une orthographe correcte facilite la compréhension de l'écrit et évite les malentendus.
=>🍡 L'orthographe grammaticale concerne les règles et les structures qui régissent la formation des phrases, la construction des mots, la syntaxe et l'utilisation des différents éléments de la langue. Elle comprend des éléments tels que la structure des phrases, les temps verbaux, les accords entre les mots, l'utilisation des pronoms, les règles de conjugaison, etc. La grammaire permet de comprendre comment les mots s'agencent pour former des phrases grammaticalement correctes et cohérentes. Elle joue un rôle essentiel dans la compréhension et la communication efficace dans une langue.
=>🍡En résumé, l'orthographe se concentre sur l'aspect graphique et formel de l'écriture, tandis que la grammaire se concentre sur les règles et les structures qui régissent la formation des phrases et l'utilisation des mots dans une langue donnée.
— Je n'aborde pas dans ce document les règles de la réforme orthographique de 1990.
Je désire ardemment exprimer ma profonde reconnaissance envers les lumières qui ont illuminé mon parcours tout au long de cette quête inlassable de connaissance.
📎Le « - è- » accent grave se trouvegénéralement à l'avant-dernière syllabe des verbes en « - eler- » et « - eter »,
— Je gèle, il recèle, il achète.
📎 Le « - è- » accent grave se trouve avant une syllabe contenant un e muet,
— Crèmerie, cimetière, mèche.
ℹ️ Définition : le tréma est un signe diacritique qui est souvent utilisé en orthographe française pour indiquer que deux voyelles adjacentes dans un mot doivent être prononcées séparément. Ce petit signe, sous la forme de deux points placés au-dessus d'une voyelle, joue un rôle crucial dans la clarification de la prononciation et de la signification des mots.
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📎Le tréma est utilisé dans la séparation de deux voyelles adjacentes : Le tréma est placé sur la première voyelle pour indiquer qu'elle doit être prononcée séparément de la suivante. Par exemple, dans le mot "naïf," le tréma sur le "ï" indique que les voyelles "a" et "ï" doivent être prononcées séparément.
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📎Le tréma est utilisé dans la différenciation des homonymes : Le tréma est parfois utilisé pour distinguer des mots qui autrement se prononceraient de la même manière. Par exemple, "aiguë" (avec tréma sur le "u") signifie "pointu" tandis que "aigue" (sans tréma) est un terme musical.
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📎Le tréma est utilisé dans les prénoms étrangers : En français, le tréma est souvent utilisé dans les prénoms étrangers, comme Zoë ou Noël, pour indiquer la prononciation correcte des voyelles.
🚼Pour suivre cette instruction, écoutez quelqu'un vous lire le texte ci-dessous. La correction comprenant des explications éventuelles se trouve à la suite (Les lettres en gras soulignent une difficulté orthographique).
Une mûre ; une brûlure ; un rot ; bâillonner ; un pataquès ; aître ; les rênes du pouvoir ; prôner.
Les lexiques et dictionnaires sont intégrés au sein d'un portail lexical unique qui permet leur consultation croisée ainsi qu'un export dans un format normalisé (LMF, ISO-24613). Projet évolut...
Signe en forme de petit trait horizontal, reliant les éléments de certains mots. Le trait d'union, souvent négligé, mais indispensable dans la langue française, joue un rôle crucial dans la formation de mots composés.
Là est un adverbe qui indique un lieu ou un temps :
— Passons par là,d'ici là, il sera revenu.
🍡Règle : Le trait d'union est obligatoire lorsqu'il marque l'insistance des adjectifs démonstratifs, lorsque le nom est placé immédiatement après le démonstratif et avant l’adverbe là : — Ces demeures-là, cette famille-là, ces amis-là, ce moment-là.
🍡Règle :
Le trait d'union est obligatoire dans les locutions adverbiales. — Là-dessus, là-dedans, là-haut, là-bas.
Mais, les deux orthographes sont possibles dans :
— Jusque là ou jusque-là. 🍡Règle
Il n’y a pas de trait d’union quand là est séparé du démonstratif par un nom accompagné d'un adjectif :
— Ce matin clair là, ces jolies chemises là, ce méchant ogre là.
Mais, cela ne s'applique pas lorsque le mot qui sépare le nom de son démonstratif est un nombre. — Ces quatre mois-là, ces deux chats-là, ces vingt élèves-là.
🍡Règle : on écrit toujours « cette fois-ci » avec un trait d'union.
— Cette fois-ci, je ne ferai pas de faute d'orthographe.
On utilise toujours un trait d'union dans les locutions formées avec les mots ci et là, qui permettent de créer uneffet d'insistancesur un lieu ou une chose. Il existe plusieurs de ces locutions :
🍡Règle : le préfixe « -pré » se joint sans trait d’union à un mot :
— Préadolescence, précuit.
Il en va de même pour « -post »,
— Postmoderne, postdater.
Sauf s’il s’agit d’une expression latine :
— Post-mortem, post-scriptum.
Le trait d’union est facultatif devant les mots qui commencent par « -t » :
— Post-test est correct tout comme posttest.
🍡Règle : s’agissant de « -néo », il s’emploie sans trait d’union :
— Néoclassique, néocapitalisme.
Mais si le préfixe est suivi d’un mot qui commence par la lettre « -i » ou s’il s’agit d’un terme dérivé d’un nom propre, le trait d’union est obligatoire :
🍡Règle : « -Pro », au sens d’« en faveur », est suivi d’un trait d’union lorsque le second élément commence par un « -i » ou un « -u » ou lorsque le second élément est un nom propre ou un sigle :
— Pro-indochinois, pro-Américains, pro-Unesco.
📎 Anti, archi.
🍡Règle : on ne met pas de trait d’union après « anti »,
— Anticoagulant, antiéconomique, antidopage.
mais pas lorsque deux voyelles identiques se suivent :
— Anti-inflammatoire.
Il est également employé quand on veut marquer l’opposition, le désaccord :
— Il est anti-spéciste.
La règle est la même pour « archi » au sens de « très », on écrit :
🍡Règle : lorsqu’il a le sens d’« antérieurement », « -ex »est joint par un trait d’union au nom qui le suit. Il exprime alors l’idée d’un état antérieur de quelque chose ou d’une fonction antérieurement occupée par une personne.
— Adèle a continué d’entretenir une relation d’amitié avec son ex-belle-sœur.
— Cet ex‑locataire devra assumer ses responsabilités de nouveau propriétaire.
— De nombreux ex-officiers participaient au défilé militaire.
📎Employé au sens de « hors de »
🍡Règle : « -Ex » peut également signifier « hors de ». Dans ce sens, on le trouve dans des mots composés d’origine latine ou française, principalement des verbes, dans lesquels il est soudé à l’élément qui le suit.
— Les parasols excentrés sont de plus en plus à la mode.
— Nos voisins se sont expatriés pour le travail.
— Toutes ces expropriations auraient pu être évitées.
📎Employé dans une expression latine
🍡Règle : « -Ex »se trouve aussi dans quelques expressions latines dans lesquelles il est toujours suivi d’un espacement. Ces locutions s’écrivent en romain, et non en italique, et elles sont invariables.
— Cette personne parleex cathedra : elle a un ton doctoral.
— Il y a beaucoup de candidatsex æquoqu’il faudra départager.
On met un trait d'union dans les locutions « au-dessus », « au-dessous », « au-delà », mais pas dans les locutions « en dessus », « en dessous », « en avant », « en dehors ».
— Des enfants en bas âge ; un compte rendu ; si tu as fini de te servir de la perceuse, donne-la-lui ; Comme tu as voulu un potager, occupe-t'en ; cent vingt ; une garde à vue ; l'extrême droite ; les bien-aimés ; des ouvre-boîtes ; les chefs d'État ; des fers-blancs ; Ils étaient sous-côté ; des sapeurs-pompiers ; outre-tombe ; des rabat-joie ; des fous rires ; Moyen Âge ; des porte-mines ; des contre-exemples ; les mains-d'œuvre ; il a trouvé un mi temps ; la-haut ; des souffre-douleur ; des trouble-fêtes ; des envoyés spéciaux, des contre-propositions (ou des contrepropositions).
"Postmoderne" ou "post-moderne"? Les règles orthographiques de notre belle langue française sont tortueuses et remplies d'exceptions. Les connaissez-vous? L e Figaro vous propose, grâce au ...
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=> Un deux-points est le plus souvent suivi d'une minuscule.
Cas de l'énumération.
Cas d'une cause ou d'une conséquence.
=> Cas particuliers :
Un deux-points est suivi d'une majuscule.
1. Quand il introduit un élément qui prend une majuscule.
2. Quand il introduit un titre, une dénomination :
— Elle dit : " Je vous attendais. "
— " Il est intitulé : Retour aux sources. "
Dans des écrits administratifs ou techniques, on met une majuscule au texte qui suit un deux-points accompagnant un simple intitulé de rubrique.
— " À : L'ensemble du personnel. "
— " Note : Cette information n'a pas été confirmée. "
Les surnoms, quand ils sont ajoutés ou substitués à des noms propres, prennent des majuscules aux adjectifs et substantifs qui les composent et ajout de guillemets.
— "Le Guitariste aux Doigts d'Or".
Les titres d’œuvres commencent tous par une majuscule.
Règle n° 1 – Si le titre commence par un article indéfini (un, une, des), seul l’article prend une majuscule.
Exemples 1 : Un heureux événement.Des hommes et des dieux.
Règle n° 2 – Si le titre commence par l’article défini (le, la, l’, les), il est d’usage de mettre une majuscule au mot suivant.
Exemples 2 : La Joconde, Le Déserteur, Le Livre de la jungle, et non Le Livre de la Jungle, la mariée était en noir.
— Le Petit Chaperon rouge.
L'adjectif qui précède le nom avec majuscule prend une majuscule, mais pas celui qui suit le nom
Règle n° 3 – Quand le titre ne commence pas par un article, seul le premier mot prend la majuscule. Exemples 3 : Tout sur ma mère, Minuit à Paris, Voyage au centre de la Terre de Jules Verne,
Règle n° 4 – Quand le titre est composé d’un ou plusieurs noms coordonnés, seul le premier commence par une majuscule.
Exemples 4 : Amour, gloire et beauté.
En revanche, s’ils sont essentiels ou symétriques, ils prennent tous deux une majuscule :
Exemples 4-bis : Guerre et Paix ; Le Rouge et le Noir ; Le Corbeau et le Renard.
Règle n° 5 – Si le titre comprend un patronyme à particule ou si l’auteur possède un patronyme à particule, ne pas mettre de majuscule à la préposition « de ».
Exemples 5 : Jean de Florette ; C’était de Gaulle ; Gatsby le Magnifique.
On ne met pas de majuscule aux adjectifs adjoints aux noms propres géographiques :
— L’Italie méridionale, la France basque
Exceptions : sauf si l’appellation fait office de nom propre, de quasi-nom composé
— L'Asie Mineure, le Grand Nord.
Les noms communs d’entités géographiques sont suivis par un nom qualifiant, alors celui-ci prend la majuscule
— La mer Méditerranée, le pic du Midi, le golfe du Lion, la Croisette.
==>Mêmes règles pour les monuments ou les jardins (tour Eiffel, le pont des Arts, l'Arc de Triomphe.…).
Règle 9 : les noms communs d’entités géographiques ne prennent pas de majuscule
— lac, mer, montagne, pic, mont…
Règle 11 : les planètes, les étoiles et les signes du zodiaque prennent toujours une majuscule
—la Lune, la Terre, la planète Jupiter, le Soleil, le signe du Verseau…
Exceptions : les noms de villes ou de régions qui désignent un produit très connu, dans la désignation de ce produit, ne prennent pas de majuscule, devenant un nom commun.
— Un havane, du gruyère, un bourgogne, un camembert.
Les noms de festival s’écrivent de façon générale avec une majuscule initiale.
Les dénominations de festivals prennent une majuscule au premier nom qui les compose et, le cas échéant, à l’adjectif qui le précède (le Grand Festival de…).
Je souhaite aller au Festival du nouveau cinéma.
Le Festival en chanson de Petite-Vallée a été le tremplin d’un grand nombre d’artistes.
Au pluriel
Au pluriel, la majuscule demeure lorsqu’il est question d’un festival en particulier, mais
quand la dénomination renvoie à plusieurs festivals qui, bien que de même type, sont distincts.
Il était de tous les Festivals d’été de Québec.
Québec compte plusieurs festivals d’été.
Avec un déterminant numéral
Précédé d’un déterminant numéral, festival conserve la majuscule.
Le XXXVe (ou 35ᵉ) Festival international de jazz de Montréal fut un immense succès.
Festival + spécifique
Certaines dénominations de festivals sont formées sur un modèle différent, qui s’approche de celui utilisé pour les dénominations sociales. Ces dénominations sont composées du nom festival suivi d’un nom spécifique qui s’apparente à un nom propre. On met alors une majuscule initiale au mot festival ainsi qu’au premier mot du spécifique et, le cas échéant, à l’adjectif qui le précède.
le Festival Accès Asie.
le Festival Sidanse.
le Festival Mythes et légendes.
Toutefois, si le nom festival ne fait pas partie du nom officiel de la manifestation, il ne prend pas la majuscule.
le festival Montréal en lumière
Le pluriel de festival
Le pluriel de festival est festivals, contrairement à la règle générale selon laquelle les noms terminés en ‑al forment leur pluriel en -aux (comme cheval devient chevaux au pluriel).
Les dénominations de championnats, d'expositions, de festivals, de foires, de jeux, de salons, d'années ou de périodes de l'année consacrées à un thème particulier prennent une majuscule au premier nom ainsi qu'à l'adjectif qui le précède, s'il y a lieu.
Règle : Le premier nom de la dénomination d’une période ou d’un événement historique s’écrit avec une majuscule initiale. Si ce premier nom est précédé d’un adjectif, cet adjectif prend lui aussi une majuscule.
Exemples : l’Antiquité ; la Conquête ; la Renaissance ; les Années folles ; la Conquête ;
Les noms des fêtes (1er Mai, 14 Juillet, 11 Novembre) commencent par une majuscule.
le Jeudi noir du 24 octobre 1929 ; Mai 68 ; le Quatorze Juillet ou le 14 Juillet ; le Régime français ; la Révolution tranquille ; la Ruée vers l’or ; la révolution industrielle ; les Temps modernes ; la Seconde Guerre mondiale ; la Grande Guerre ; le 11 Septembre,mais les attentats du 11 septembre 2001.
Lorsque le premier nom de la dénomination d’une époque ou d’un événement historique est un terme générique et qu’il est suivi d’un complément du nom, le terme générique s’écrit avec une minuscule initiale et le nom qui constitue le complément s’écrit, lui, avec une majuscule.
Généralement, les noms de périodes dont le générique est âge, époque, ère, etc., ne prennent aucune majuscule ; ils ne sont pas considérés comme des noms propres.
Les noms propres prennent la marque du pluriel et s’écrivent sans majuscule lorsqu’ils se réfèrent au type de vin ou de fromage d’un lieu. On écrit des vins de Champagne, mais un champagne.
— Pour réaliser un mimosa, il faut se procurer de bons champagnes.
Le mot code est un nom commun et s’écrit donc avec une minuscule, sauf, bien sûr, quand il entre dans un titre : il prend alors la majuscule. C’est pourquoi on l’écrit le Code civil, le Code pénal, le Code de procédure pénale, le Code de procédure civile, le Code forestier, le Code rural, etc. Cependant, comme nombre de règles, celle-ci a une exception, puisque l’on écrit, sans majuscule à code,le code de la route, ce qui, somme toute, est logique puisque les articles qui le composent ne sont pas des textes législatifs mais règlementaires.
Il convient de mettre la majuscule au premier mot du nom exact d'un parti ou d'un mouvement politique. Si le premier mot est un adjectif, on met aussi la majuscule au substantif qui suit :
Pourquoi utiliser des majuscules, c'est-à-dire des lettres plus grandes, en début de mot ? Pour distinguer, par exemple, un état grippal d'un État fédéral,
La Vitrine linguistique de l'Office québécois de la langue française donne accès à une multitude d'informations et d'outils linguistiques et terminologiques.
Les prépositions s'échangent invariablement derrière le verbe continuer. Ainsi entend-on souvent des phrases telles que «il a continué à me provoquer» et «il continue de mâcher son chewing-gum bouche ouverte». Le verbe se construisant de manière aléatoire. À tort. Si l'erreur est aussi subtile c'est parce qu'elle est devenue commune à l'oral. Voici donc deux moyens mnémotechniques pour ne plus la faire.
Aidez-vous tout d'abord du contexte. Si votre voisin Jean vient d'allumer une cigarette et que ce dernier a l'intention de la faire durer, vous direz: «Jean continue à fumer.» En revanche si ce même Jean est un habitué de la cigarette, vous écrirez plutôt: «Jean continue de fumer.» L'Académie française dans la dernière édition de son dictionnaire parle de «persévérer dans une habitude».
Conclusion ? «Continuer à» s'utilise pour commenter une action qui débute (comme la lettre «a») et qui se poursuit dans le temps. «Continuer de», pour sa part, s'emploie pour faire référence à une habitude, à quelque chose que l'on ne «cesse pas de faire».
Vous pouvez également vous reporter à la prononciation de votre phrase. Si deux voyelles se touchent, il faudra privilégier la préposition «de». On ne dira pas ainsi «il a continué à amener les enfants» mais «il a continué d'amener les enfants à l'école». Une subtile façon de parfaire votre français à l'oral et ainsi rendre plus fluide vos phrasés du quotidien !
L’adjectif « soi-disant », forme archaïque du participe présent du verbe « se dire », a été formé à partir du pronom personnel « soi », et non de la conjonction « soit ». Il est en outre invariable. Qu’il qualifie un nom féminin ou un nom au pluriel, il ne change pas :
Des prétendus coiffeurs, des soi-disant notaires. (Georges Brassens)
Cette soi-disant amie m’a trahi.
Soit... soit ou soient... soient. Conjonction
La règle traditionnelle est pourtant claire : soit… soit… ne s’emploie pas entre des propositions ou entre des verbes conjugués. Il peut séparer des substantifs, des adjectifs, des pronoms, des adverbes, des compléments, mais pas des phrases : Demandez soit Pierre, soit Paul. Nous pouvons recourir à diverses mesures, soit sociales, soit économiques. On invitera soit l’un, soit l’autre. Nous interviendrons soit directement, soit par l’intermédiaire d’un représentant. J’arriverai soit à cinq heures, soit à huit heures.
On a envie d'accorder " soi-disant " comme n'importe quel adjectif et d'écrire " une soi-disante championne " au lieu de " une soi-disant championne ".
Les articles des Chroniques de langue sont tirés de la revue L'Actualité langagière, publiée tous les trois mois par le Bureau de la traduction. Ces articles fouillés posent un regard sur ...
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